Face à moi le monde selon ton regard,
une esquisse façonnée par les hasards,
où tous les vents mènent forcément quelque part,
les voiles fendant un océan de miroirs,
ici les étoiles n'attendent pas le soir,
la Lune brille toujours à qui sait la voir.
Le reflet d'un iris qui tiédi le blizzard,
La force de la mer qui rompt les amarres,
Sans une vague que les marins sauraient voir.
Sur moi les pétales ne cessent de pleuvoir,
Le temps s'y trouve démuni de son pouvoir,
La distance n'est plus un signe d'au revoir.
Écrit par GrazianiJr
C'est face au mystère que l'on se découvre.
Le Bâtisseur Catégorie : Poésie
Publié le 25/07/2020
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Commentaires
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Posté le 25/07/2020 à 12:54:50
Ce poème est doux, j'aime beaucoup sa structure, et cet effet de plonger au cœur d'un mystère, sur la vague de vos pensées. Merci du partage GrazianiJr, bon week-end | |
creature |
Posté le 25/07/2020 à 22:50:53
J'aime beaucoup ! Tant de fenêtres s'ouvrent sur tant d'univers par la seule force de ce mystérieux regard... Bravo ! |
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Yuba |
Posté le 26/07/2020 à 02:18:19
Merci à vous pour vos belles remarques ! Je suis heureux que cela vous touche ! | |
GrazianiJr |
Posté le 26/07/2020 à 23:23:05
La contemplation devant la mer et l'océan toujours inspire le poète, en voici une preuve nouvelle. Merci à vous pour cette poésie contemplative. | |
jacou |