Dans la mer
lagunes poivrées
je t'aime,
mon voleur de rêve
Je ferme les yeux et perçois des pies
la fenêtre me laisse assez d'air,
je songe encore au printemps goûts
sucrés sur ma bouche
aux promenades le long de la rivière,
filet d'eau
qui ruisselle au fond de mon jardin,
J'écoute soigne mes blessures
courts à perdre haleine
Faut dire qu'il faut le porter mon poids
pas de renvoies d'images
mes images je les peins
seule face à moi.
léo
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Commentaires
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Posté le 15/11/2009 à 16:07:50
Trés joli poème....J'aime beaucoup les images et l'expression de ta solitude. Il reflète tout a fait mon état d'âme en ce moment; il faut continuer malgré la solitude, courir et porter le poids de sa vie... Amitiés |
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Sanserato! |