Oublions que dans le ciel voyagent nuages,
Pluies, intempéries, étoiles et comètes...
Qu'ils volent à leur guise au-dessus de nos têtes
Tous ces pilotes, leurs avions, leurs adages...
Oublions qu'autour de nous s'agitent ces vies,
Tous ces bruits, ces existences avec, sans envie :
Ne comptent plus, entre les arbustes, que nous,
Comme un seul, unique, et indispensable tout...
Oublions que nous entoure une folle foule
Ou peut-être bien personne ; le temps s'écoule ;
Et puis... Qu'importe ! Laissons chanter les grillons
Et puis sous le Soleil, les lézards viennent, vont,
Tandis que dans l'herbe s'enlacent nos corps, rois
De ces instants secrets juste entre toi et moi...
Écrit par Futile Exageration
« Qu'il était bleu, le ciel, et grand l'espoir !
L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir. » VERLAINE. Catégorie : Amour
Publié le 04/07/2011
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Commentaires
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Posté le 04/07/2011 à 11:30:00
Les amoureux sont seuls au monde mais ta façon de l'exprimer aussi poétiquement est simplement un bonheur. | |
TANGO |
Posté le 05/07/2011 à 14:58:53
Un poème romantique tout en caresse..il suffit de fermer les yeux pour vous imaginer enlacé.. | |
kimidoll |