Allons donc au gré du vent qui souffle là-haut,
Là où tout doucement le grand fleuve Amour coule ;
Allons donc voir la Chine aux oiseaux qui roucoulent,
Là où jamais la paix ne connaît de fléau ;
De cet air subtile, profitons ici, sans fin ;
Dans le silence fragile, partout, enfin,
De nos cœurs serrés, laissons résonner le son,
Dans l'atmosphère innée d'une belle leçon...
Car il est des soupirs paisibles, appréciables,
Dont la nuance d'aise est toujours agréable :
Laissez venir à vous ces notes d'euphorie
Dans un léger nuage, douce symphonie,
Car il est de ces bijoux dépourvus d'image
Dont la nuance heureuse n'apparaît qu'aux sages...
Écrit par Futile Exageration
« Qu'il était bleu, le ciel, et grand l'espoir !
L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir. » VERLAINE. Catégorie : Amitié
Publié le 01/08/2011
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Commentaires
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Posté le 01/08/2011 à 00:11:10
(: | |
Lenigmatique |
Posté le 01/08/2011 à 00:23:34
Tu sais combien j'aime te lire! Très joli texte. Bises, Florian |
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titamourdepoete |
Posté le 01/08/2011 à 09:54:20
Oh ! Ça faisait longtemps... Merci Florian ;) | |
Futile Exageration |
Posté le 02/08/2011 à 13:00:16
très beau sonnet. j'apprécie particulièrement les "soupirs paisibles". | |
Philemon |
Posté le 02/08/2011 à 13:55:11
magnfique ! | |
chappirukia |
Posté le 02/08/2011 à 15:16:14
impalpable... j'adore! | |
Blackflag |
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