La tête est tournée vers la porte,
attendant
Une arrivée inattendue,
petit espoir
Vain, inutile,
ne se laissera pas voir,
Il ne viendra pas.
Son visage cependant
Reste imprimé dans l'esprit, seul.
La solitude
Tue le reste,
indifférente attitude,
Imagination assassine.
Et l'absent
Qui ne vient pas et
qui peut-être ne sait pas,
La douleur qui me brise le regard,
et toi,
Tu ne te montres pas,
peut-être inconscient,
Ou bien indifférent,
comme tu l'es parfois.
Le vide persiste toujours
autour de moi,
Et pourtant,
malgré une certaine habitude,
Je me demande
si tu comprends.
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de Fleuraye au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 17/09/2014 à 06:33:15
Bel écrit... | |
pichounne |