Je te le dirais un jour,
En attendant ton amour,
Je me contente d'un boujour,
Au plus de ton humour...
Mais depuis la maternelle,
J'attends d'être belle.
On me voit me déclarer à une coccinelle,
En pensant à toi, mon éternel...
En attendent, je flanelle,
En regardant les hirondelles,
Qui sont en couple, elles
Pour moi, tu es le romanesque troubadour,
Et j'écarte tous les vautours...
Sauf pour mes amies, qui elles ne savent pas mon amour,
Car l'une d'entre elle aussi son coeur bat pour toujours,
Pour toi beau troubadour.
Écrit par Fleur-Bleu
Aimé c'est déjà très dur,
Mais ne pouvoir le dire c'est une torture Catégorie : Amour
Publié le 22/09/2010
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de Fleur-Bleu au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 23/09/2010 à 10:08:46
Fleur-Bleu, "Depuis toujours" l'amour nous tourmente ... |
|
marie-ange-old |
Posté le 25/09/2010 à 08:57:22
Et oui c'est dur de cacher son amour et de voir les autres aimer celui qui fait battre ton coeur. | |
Riane |
Posté le 25/09/2010 à 21:27:47
très dur oui, encore plus lorsque c'est ton amie, et que tu ne veux pas la trahir... | |
Fleur-Bleu |
Posté le 25/09/2010 à 22:53:26
Il y a dans tes poèmes comme une trace qui montre qu'au moment de les écrire tu leurs confies tes sentiments, cela les rend uniques en leur genre car ils reflètent ta personne, merci pour cela. Néanmoins je trouve que certaines choses ne vont pas. Le premier vers nous laisse croire que tu vas expliquer ce que tu veux lui dire. On a beau s'avoir que c'est d'amour que tu vas lui parler, on s'attend à ce que tu exaltes tes sentiments et non tu parles d'attente et là je trouve que le rythme s'avère rompu par cette petite maladresse. Peux-tu m'expliquer le vers de la coccinelle ? Tu t'entraînes a déclarer ta flamme avec c'est cela ? Ensuite le troisième vers du tercet sonne mal je trouve. "Qui sont en couple, elles" . On a l'impression qu'après ces deux quatrains de tendresse tu pointes du doigt le beau troubadour l'accusant de ne pas te regarder. Est-ce voulu ? Car le problème c'est que derrière tu reprends la tendresse et la protection ce qui fait que ton vers accusateur est seul au milieu des autres ^^. Le dernier couplet est... de trop. Désolé mais je trouve qu'il ne sonne pas bien. certains vers sont trop longs. Le troisième et le quatrième vers ne sonnent pas très français. Un nouveau tercet faisant ainsi de ton poème un sonnet serait peut-être plus approprié. Je pense que le derniers vers est à conserver pour ce tercet :). Voilà poème sympathique avec beaucoup d'émotions. merci |
|
Lorenzo |
Posté le 26/09/2010 à 10:39:03
Mercie Lorenzo, J'ai été touchée quand tu as dit que mes poèmes étaient uniques. Explication : Oui le coup de la coccinelle c'est quand je ne peux plaus me taire et que je me "déclare" à cette petite bête. N'as tu jamais ressenti de la rancune pour quelqu'un que tu aimes et qui ne te regarde pas. la suite plus tard |
|
Fleur-Bleu |