Te mentirais-je ?
Lorsque la vie a tort et que le mal n'est que poussière
Te mentirais-je ?
Même si un jour je meurs, noyé dans l'eau salée de la mer
Te mentirais-je ?
Je vis dans l'obscurité, et toi dans l'ombre
Ne vois-tu pas la différence ?
L'ombre n'est qu'un espace oublié du soleil
L'ombre c'est l'endroit qui te permet de vivre
Un endroit caché de toutes merveilles
L'ombre c'est le monstre qui te respire
Même si tu as atteint la mort
Tu restes toujours aussi fort
Car l'ombre n'est pas l'infini
Mais plutôt un passé qui se multiplie
Te mentirais-je ?
L'obscurité n'est pas oubliée
Mais plutôt non désirée
Le soleil a peur d'y pénétrer
De ses rayons, afin de la sauver.
Cela te semble impossible n'est-ce pas ?
Alors la prochaine fois que tu verras ton ombre s'éloigner
La prochaine fois qu'une vie demande d'être sauvée
Demande au ciel, demande à la terre
Si c'est l'obscurité qui t'empêche de te sentir fière.
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Votre poésie est intéressante par sa réflexion la forme et le fond me plaisent, peut-être devriez-vous le relire quelques fautes d'accord et d'orthographe troublent un peu la lecture, mais ce n'est qu'un détail, le texte reste beau, belle journée poétesse. | |
Abdel |
D'accord avec ce que dit Abdel, je voulais vous en parler en privé, mais c'est fait, il y a désormais de charmants et distrayants petits manuels d'orthographe et puis une extraordinaire nouveauté, récente, un stylo qui se met à vibrer sous vos doigts quand vous vous trompez, et qui même, si j'ai bien compris vous propose la correction, c'est l'invention d'un jeune, très jeune chercheur des Etats Unis, je vais sans doute me le procurer car mon grand âge, désormais, me joue des tours. | |
flipote |
Oui, c'est fort possible, je n'ai pas bien pris soin de corriger mes erreurs. Désolé je vais m'y appliquer d'avantage ultérieurement, enfin, quand j'en aurai le temps. | |
Fathly |