De brume et de rimes s'enveloppe, ma plume
Enfant sauvage esquissant sous la lune
De l'encre ébène se pose
Sur le papier en prose
Muse à ma vie, telle la pluie au désert
Salvatrice solitude sur une terre austère
Les mirages de brume encombrent mes pensées
D'un voile nacre, lentement obombrent le passé
Gouttelettes en suspension, dans mon esprit épris
De ta chair et de ton être, à vie
De ton eau et de ton sang, du cœur de la terre
Au firmament; se dessine une lumière aptère
Inamovibles sensations, chaleur et passion
De ton corps à tes traits, essence vermillon
Qui brille là-haut sans cesser jamais, de me protéger
Étoile haute perchée ,dans mon ciel, vénérée
Ton céleste corps s'enflamme
Dans ton sillage brulant
Dans tes bras d'enfants
Protège-moi des vagues à l'âme.
Protège-moi, protège-moi
Des destins sournois
Qui m'éloignent de toi
Et font taire ma voix.
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Une année plus tard la brume s'est levée et elle est pleine de sensations poétiques amoureuses ... Bravo Faeron ! |
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Yuba |
Je l'ai trouvé absolument lumineux et propagateur de rêve ce poème ! Merci Faeron je l'ajoute dans mes favoris, voici de la belle poésie comme j'adore... Au plaisir de vous lire :-) | |
grêle |
Magnifique poème, je suis sous le charme ! Il est trop court à mon goût, mais les meilleures choses ont une fin... | |
jacou |
Merci beaucoup pour ces commentaires ! A regret, je m'éloigne parfois de la poésie... Y revenir fait un bien fou, et vos commentaires encore plus. Encore merci pour ces mots. |
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Faeron |