La fenêtre du monde
Est le miroir de l'âme
Où passent les jolies femmes
Et les peines immondes.
Les vers sont en latin
D'église et de Satan;
Sous les cieux éclatants
Et les regards hautains.
Alors je dépend d'elle
Et je plonge en ses yeux
Où je retrouve un Dieu;
C'est l'Amour éternel
Qui s'envole, grand bouquet
Mélancolique et fier
Vers l'astre des enfers
Où m'attend mon aimée.
Écrit par Etienne de Mirage
Le coeur est une langue qui se passe de mots.
Catégorie : Evasion
Publié le 20/12/2019
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Commentaires
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Posté le 20/12/2019 à 17:40:53
J'aime beaucoup ce poème aux relents orphéens Mirage... | |
Alphaesia |
Posté le 21/12/2019 à 00:10:07
Je retrouve les deux postulations baudelairiennes dans votre poèmes, qui est un plaisir de lecture. Merci Etienne. | |
jacou |
Posté le 21/12/2019 à 08:39:54
Le paradis côtoie l'enfer , beau poeme a l'envolée mythique | |
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