Je la serrais si fort dans mes bras que j'était sure que rien n'y personne n'aurait pu nous séparer
Elle me remontait le moral me donnait le sourire, j'ai dû quitté mon mari, mes sept enfants, ma famille, ma maison car eux ne l'acceptaient pas.
Peut être n'acceptaient-ils pas mon nouveau sourire, mes états de rire.
Un jour le médecin m'annonça que j'avais un cancer et que je m'avançais à une mort certaine, me séparer d'elle permettrait de ne pas aggraver mon état.
Je préférais de loin mourir dans tes bras que me trouver seule pleurant sur mon sort
Bouteille oh jolie bouteille quelle chance as tu d'être remplie de ce délicieux alcool...
A ma grand mère
Écrit par Embryon
Ne croit pas ce que tu voit mais ce que tu ressent
Catégorie : Amour
Publié le 01/11/2006
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de Embryon au hasard |
Commentaires
Annonces Google |