Comme deux portes laissées entrouvertes sur un ciel sans lune
Comme une nuit éteinte
Deux étincelles blanches
Comme une immensité noire
Comme un reflet d'Infini
Comme un chaos mêlé de paradis et d'enfer
Comme un vide dense
Une épaisseur lisse
Des profondeurs immobiles
Comme deux abîmes deux abysses deux étoiles claires
Comme deux ténèbres chantant l'Éternel
Comme
Les mots fuient sous mes doigts tandis que ces yeux glissent hors de ma mémoire
Je ferme mes paupières et sur l'écran rose de mon regard
Seul reste le souvenir insaisissable du noir de deux soleils sombres qui se dérobent
Écrit par Eli
"Il faut encore porter du chaos en soi pour accoucher d'une étoile qui danse."
Nietzsche Catégorie : Divers
Publié le 07/08/2019
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Eli au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 07/08/2019 à 19:41:16
La litanie des comparaisons est une première approche du monde, puis notre regard se dessille, et nous voyons alors la réalité. Voici mon ressenti de lecture pour ce poème, que je vous remercie de nous proposer. | |
jacou |