L'aube cavalière estompe allègre,
Les maux hier trompèrent
La vue d'un et plus, rieur,
dévêtue d'une qu'il plut, qu'il pleure
Un nouveau soleil tient la main
Et lasse ! l'âme se traîne si lente
Jusqu'aux lendemains qui déchantent.
L'amour brûle la peau en un clin.
Les pavés s'étalent bossus
Aux aléas des âmes noirées,
Un parc matelassé, dessus
Cuir de peau visage d'ambrée
Les rues délimitent au dehors
Un monde sans saisons ni fin
Où l'air vibre plus fort
Chez le voisin et les coeurs pleins.
Par Galerion et Eleidora
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Commentaires
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Posté le 21/11/2019 à 21:43:07
Splendide Eleidora ! Merci encore pour ta bienveillance :) | |
Galerion |
Posté le 21/11/2019 à 22:04:35
dévêtue d'une qu'il plut, qu'il pleure : magnifique ! (comme tout le reste) | |
Etienne de Mirage |
Posté le 23/11/2019 à 07:47:08
Merci à toi Galerion de m" avoir proposé un nouveau duo :) Merci à vous Étienne de Mirage pour votre passage ! |
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Eleidora |
Posté le 23/11/2019 à 17:53:04
Bravo et merci pour cette déambullétion qui accorde parfaitement vos plumes ! Bonne continuation | |
Ombellune |
Posté le 24/11/2019 à 02:44:20
C'est toujours un grand privilège pour moi Eleidora. Merci, Étienne et Ombellune pour vos mots ! Ils sont touchants et encourageants ! |
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Galerion |
Posté le 16/07/2020 à 16:13:51
je suis en déambullition | |
marinette |
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