Heureux qui comme un homme, a vécu le bonheur,
Ou comme celui-là qui fut tant délaissé,
Et puis est retourné, plein d'amour et gaîté,
Chercher et reconquérir son amour antérieur.
Quand reverrais-je, hélas, de son petit corps,
Frétiller ses lèvres sur ma bouche enflammée,
Quand reverrais-je la silhouette de ma bien aimée,
Qui m'est aussi belle et précieuse que de l'or.
Plus me hante son parfum que je lui ai offert,
Plus m'attire ses caresses qu'elle sait si bien me faire,
Plus m'envahit son regard que je ne peux oublier.
Plus le temps passe que les douleurs perpétuent,
Plus je me trouve loin d'elle que son manque me tue,
Plus son mépris perdure que mon âme est blessée.
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