Dans un silence d'or, pénétré d'empreintes
Jusqu'aux cimes de mon corps, je sens ton étreinte
Rien ne rompt l'angoisse du passant isolé,
Celui qui croit sous la fenêtre perssiennée
Qu'il est bien seul, triste et abandonné…
Rien ne peut supposer que nous sommes enlacés
Dans un silence d'or, pénétré d'étreintes
Jusqu'aux cimes de ton corps, tu sens mon empreinte
Rien ne rompt l'angoisse de la lune étoilée,
Celle qui croît sur la fenêtre persiennée…
Qu'elle est bien seule, triste et abandonnée !
Rien ne peut supposer que nous sommes enlacés
Dans un silence d'or, pénétré de teintes
Jusqu'aux cimes de nos corps, la nuit s'est éteinte.
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Commentaires
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Posté le 03/08/2007 à 22:09:38
Superbe poème d'amour, vraiment! Très doux et très tendre. |
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Morch |