Le coeur se souvient du désespoir.
Seul, aux confins du noir.
La pluie frappe aux carreaux.
Sans un bruit, loin de l'étau.
Je me souviens du temps.
De ces quelques instants.
Où dans le noir.
J'apercevais ton regard.
Fini les ballades..
Les pensées amoureuses.
L'eau coule comme une berceuse,
Sur mes derniers soupirs.
Le coeur se souvient de l'espoir.
Les nuits, sans peur du noir.
Où dans les derniers nuages...
J'y voyais encore un visage.
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Écrit par Divinity
Omnis creatura subjecta es vanitati. Es liberabitur.
Catégorie : Triste
Publié le 26/11/2012
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Commentaires
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Posté le 26/11/2012 à 23:23:52
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Contente de te retrouver ce beau poème me serre le coeur je t'embrasse, Divi |
flipote  |
Posté le 28/11/2012 à 11:57:19
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Très joli ! Le cœur n'oublie jamais... Bonne continuation ! Roger |
rogertibbart  |