Le monde me dépasse,
Tout me surpasse,
L'homme construit son empire,
Sans même penser à son avenir.
Pure folie, sombre démence.
Quelle banale inconstance !
Que cette prétention immonde,
De ce croire seul au monde.
Seul soupir de conscience,
Que de prendre un peu connaissance,
De la terre qui nous entoure,
Sans mettre fin à ses jours.
Acte empli de malice,
Est-là, le sang qui coule dans ce calice ?
Que tu appelles "source de vie" ?
Et que sans reproche, tu détruis ?
Insupportable idée,
À laquelle ce poème est adressé.
De ce monde déclinant,
De son dernier souffle de vie restant.
Divinity.
Écrit par Divinity
Omnis creatura subjecta es vanitati. Es liberabitur.
Catégorie : Triste
Publié le 11/03/2010
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Commentaires
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Posté le 11/03/2010 à 20:04:41
très beau souffle, vraiment très fort | |
Huruboon |
Posté le 11/03/2010 à 21:04:37
Tu as une maturité qui m'impressionne mon jeune ami!!!! Ton poème est très réaliste sur la vie et la folie des hommes qui les mènera à leur perte ...! Bises amicales | |
Nymphéa |
Posté le 12/03/2010 à 00:37:29
Bel écrit cher Poète, j'aime beaucoup, très réaliste. Amicalement, Tit'Lau |
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TiteLau |
Posté le 12/03/2010 à 08:56:27
superbe! bonjour Divinity* |
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MARIE L. |
Posté le 12/03/2010 à 22:12:31
J'adore ce poème, je trouve que ce nouveau ton que tu as adopté te va très bien... Ne change pas ! Hate au prochain poème que l'on construira ensemble. Bisous, Neige d'été |
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Neige d'été |