Soyons galant, sans amertume.
A n'en plus pouvoir, voici ma plume.
Belle demoiselle.
J'écrirais sur votre dos.
Dénudé de votre dentelle.
Des lèvres, j'y poserais un mot.
Ne soyons point surpris.
Il n'est d'égal que votre mari.
Ne sache que le temps est révolu.
Du jour ou d'un mot.
Proposé par votre vertu.
Lui a promis à vos côtés, le repos.
Sachez donc chère dame.
Gloussez-vous généreusement.
Rien n'est point infâme.
Que de jouer de vos talents.
Dans ce jardin, ce soir.
Ou l'aube demain.
Apposera ses douces caresses.
Je vous livre mes espoirs.
Pour m'unir à vous comtesse.
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Écrit par Divinity
Omnis creatura subjecta es vanitati. Es liberabitur.
Catégorie : Amour
Publié le 30/12/2011
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Commentaires
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Posté le 30/12/2011 à 00:20:46
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Qu'il est doux de lire ce poème, une splendide déclaration et la plume prend des ailes...j'ai adoré cette lecture. Pensées poétiques Ange de lumière |
Ange de Lumière  |
Posté le 30/12/2011 à 07:08:12
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J'aime beaucoup. L'art et la manière de parler aux femmes . Un peu disparate certes mais c'est très beau . |
TANGO  |
Posté le 30/12/2011 à 07:20:40
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Oh ! Comme c'est fleure bon le libertinage, d'un temps où les moeurs - dans certains milieux - se voulaient aussi légères ... qu'une plume. |
| Lapsus |
Posté le 30/12/2011 à 11:35:11
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Ah le temps des jardins secrets fini le temps des comtes ( et leur épouse) et des contes voici le temps des comptes |
| PATGUI |