A Hysard.
Une suite à ton poème qui m'avait tant ému.

Jolie journée ensoleillée,
où tout les deux étions couchés,
Baignant de chaleur,
à travers cette si douce lueur.

Imaginant forme aux nuages,
Partout je voyais ton visage.
Que de plaisir d'obsession,
que te décrochait un sourire si mignon.

Allongés dans ce champ,
j'aurais voulu crier : " Je t'aime tant"
Mais Dame Nature ne voulant pas être dérangée.
je te l'ai doucement murmuré.
Sans qu'une réponse ne fasse attendre,
tu m'as offert un baiser si tendre.

A la lumière du soleil,
j'ai vue tant de merveilles.
tu es ma déesse,
Toi que j'ose appeler : " Ma princesse".