Il y a la beauté sise dans ton sourire
Déposant en mon cœur des milliers de questions
Faîtes dans le tissu vêtant mon devenir
Et dans l'évanescence de possibles actions.
Il y a cet instant teinté d'un imprévu
Me laissant étourdi d'avoir vu de ta vie
Le surprenant ballet malgré moi parvenu
A toucher le désir éveillant mes envies.
Il y a même ici l'ombre des souvenirs
Où nous étions enfants et où tu souriais,
Témoins de ta beauté encore à advenir
Il y a ma raison que j'avais cru perdue
Et que par ta magie j'ai soudain retrouvé,
La magie de la femme que tu es devenue.
Une plume de Dehorian
Le 17/05/11
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Commentaires
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Posté le 17/05/2011 à 08:57:12
Le pouvoir de l'amour qui ramène les pieds sur terre tout en faisant s'envoler les envies. Superbe ! Bises. |
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Nighty |
Posté le 17/05/2011 à 18:17:28
l'étonnement face aux imprévus, c'est la magie de la vie. beau texte | |
philomène |
Posté le 17/05/2011 à 20:00:40
Un instant savouré où se mêlent souvenirs et présent douceur. Etonnement du charme qui perdure. Belle lecture. |
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Margot de Broceliande |
Posté le 18/05/2011 à 06:16:46
La découverte de l'autre prend parfois du temps et alors c'est un nouvel essor qui s'annonce . | |
TANGO |
Posté le 13/06/2011 à 15:16:14
Je ne me suis pas attardé mais quand on appelle un poème Sonnet, on a le devoir de respecter les règles de la prosodie classique Je n'ai lu, à peine, qu'un poème et non un sonnet et j'ai compté 15 fautes de prosodie. Je crois en la poésie classique et ce n'est pas bien de ne pas respecter les croyances des autres. 15 fautes : 15 avertissements. Dehors. Ce commentaire aussi, tu vas le supprimer ! |
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orbel |
Posté le 13/06/2011 à 15:19:51
Le bénévole Sa retraite venue, il veut tendre la main A celui qui ne sait plus que la solitude ! Cet homme, envers la vie, est plein de gratitude Offrant son bien d’hier, dès ce jour et demain Sa vérité n’est pas inscrite au parchemin De ces Cieux restés dans la béatitude, Car leur juste nombril ne voit que l’altitude, Et qu’ils oublient ainsi d’éclaircir le chemin Nul besoin de Saint Pierre où le chrétien convole Avec Dieu ! Vous voyez cet humain bénévole Ouvrant au misérable un cœur si généreux Qu’il peut multiplier le rêve alimentaire D’une parole tendre et d’un œil chaleureux ! Le pauvre ne croit plus qu’en l’esprit volontaire |
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orbel |
Posté le 13/06/2011 à 15:22:18
Mouarf, je ne poste que mes premiers jets sur Icetea. Mes textes je suis tous en train de les reprendre et de les corriger. Mais ils resteront ici sous forme de premier jet. Oh, et n'ayant jamais appris meme une seule notion aussi vague soit-elle de prosodie, c'est deja pas mal nan? :o |
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Dehorian |
Commentaires
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