Le rythme des tambours martèle la violence
Que l'homme a déchaîné, imposant la démence
Alimentant son sang aux terres de Gaïa,
Un tourbillon d'acier virant à la furia.
Et j'imprègne ma plume de la puérile essence
Née de tous ces carnages. J'ai découvert le sens
De l'appel de mes mots, et me voici la guerre
Parvenue aux enfants de ceux qui s'en gorgèrent.
Sanglante déraison se voulant écrasante
Si je dois te mener tu seras harassante
Et fort sanguinolente, ce sera plus parlant.
Tragique absurdité se voulant dominante
Puisque je deviens toi tu seras si puissante
Que mes mots sombrement feront les hommes hurlants.
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Dehorian au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 12/04/2011 à 06:33:27
ouf...tous ces vers qui nous rappellent notre impuissance...bravo! | |
Marie-France |
Posté le 12/04/2011 à 06:58:07
Au son du tambour, tu pars en guerre contre ces fous qui ensanglantent notre terre ! Un bel écrit dur mais passionné ! bises Louann |
|
louann |
Posté le 12/04/2011 à 09:11:08
Furia vindicative ! | |
philomène |
Posté le 12/04/2011 à 12:48:24
Pas mal du tout. | |
Jack-aux-lanternes |
Posté le 12/04/2011 à 14:50:37
Un poème empli de rage et de colère. | |
Iloa |
Posté le 12/04/2011 à 16:43:04
Tout à fait Iloa, mais hélas justifié... | |
kimidoll |
Commentaires
Annonces Google |