Je vous décris LoÔna, Astre de Poésie !
Je vous parle de cette flamme qu'elle a mis dans ma vie.
Je dévoile cet amour complètement insensé
Qui nous lie l'un à l'autre, aujourd'hui, à jamais !
Je mets nos âmes à nu pour les entrelacer
Et montrer cette lumière où je me suis trouvé !

Je vous parle de mon ange, cet être insupportable,
Qui de mes gonds se joue, se plait à m'en sortir
Et de ce cœur en miette qu'elle dirait pitoyable,
Que je juge sublime et qu'il me faut écrire,
Parce que si ce n'est moi personne ne le fera,
Et ne la pas connaître serait pire que trépas !

Je vous décris LoÔna, c'est ma meilleure amie
La seule qui sache vraiment ce que je suis au fond,
Cet arrogant crétin, ce pompeux abruti
Qui en une seule seconde est passé du tréfonds
Du plus sombre des gouffres au plus haut des sommets
Emporté par l'élan d'un tourbillon d'été.

Je vous parle de mon âme qui en elle s'est trouvée.
Je vous offre sa force, et sa glorieuse beauté
Suis-je le seul à la voir? Ma foi, peut-être, oui,
Mais alors je le dis c'est vous les abrutis !
Si vous saviez seulement la flamme dedans son cœur
Vous chercheriez aussi le feu de sa chaleur.

Je vous décris LoÔna, ma tourmentée rêveuse
Pour que vous compreniez et qu'aussi vous l'aimiez
Pour qu'un jour vous disiez "oui elle est merveilleuse"
Et qui sait pourquoi pas, pour que vous apaisiez
De son fardeau le poids. Quoique, évidemment,
Si elle veut bien m'aider, je l'aurais fait avant.

Je vous parle de ma muse, de la femme que j'aime,
De ma meilleure amie, de la femme de ma vie,
Je vous offre un portrait fait du plus beau des thèmes
Celui d'une princesse n'inspirant que la vie
Et qui je n'sais pourquoi se verrait bien sorcière.
Elle peut bien le penser, je l'aime, que ce soit clair !

Je vous décris Laurie telle que moi je la vois
Et elle aura beau dire "je ne suis pas comme ça"
Au fond d'elle elle le sait, c'est bien ainsi qu'elle est,
Tout comme je sais qu'elle sait que nous sommes uniquement
A l'autre destinés et que même si c'est dur
Nous construirons ensemble notre plus beau futur !

Une plume de Dehorian

Le 10/02/11