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Le soupir d'un instant, le sourire d'hier
De son air insistant assoupit les prières.
Et sauvage forêt, et sublime montagne
Dans les précieux attraits de la douce compagne.
Il se perd en chemin, il oublie son tracé ;
L'homme espère un destin fait de fraiches rivières.
Et il pense à demain, à genoux les paupières ;
Insomnies du matin dans un monde harassé.
Son sang gît en coutures au gré des éléments
Et ces plaies ces coupures à jamais le fascinent
Lorsqu'il tombe aux abîmes d'un grand cataracte.
Pour qu'il hurle à la mort son joyau, ses racines ;
Eprouvant sans remord ce profond sentiment :
Se jeter dans la cime du dernier entracte.
Écrit par Cubain
On lit dans les mots plus qu'on ne voit dans les choses.
Catégorie : Divers
Publié le 25/04/2008
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