A ce sourire qui en moi ne s'efface jamais,
A ces larmes qu'encore mon coeur se permet :
Je te dédie ces vers, ma belle inconnue.
Aux soupirs des ténèbres enfouis dans tes yeux,
Au charme de l'azur au dessus de nos cieux ;
Dieu te rendit ta chair, de si belle tenue.
Aux instants oubliés d'une nuit de spectacle,
A la vie, à ton corps, à ce tendre miracle
Qui fit trembler mes cils, et pense.
Aux rêves suppliés d'un torrent de folie,
A l'envie, aux accords de ce lien qui nous lie
Qui m'a semblé si fort, et je danse.
A la muse d'un soir, d'un matin de juillet,
Aux tendresses cachées que soudain tu fuyais
En me souriant d'un air, si tranquille.
Aux espoirs présents, aux chagrins à venir,
A la mémoire hachée qui hante ton souvenir :
Je t'attends ma chère, mon exil.
Écrit par Cubain
On lit dans les mots plus qu'on ne voit dans les choses.
Catégorie : Amour
Publié le 25/04/2008
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J'ai lu tes trois poèmes et je dois dire que j'adore comment tu joues avec les rimes (rimes croisées etc), c'est quelque chose que j'adore faire aussi ! | |
I-ko |
Ce qui me fait penser que j'en ai où la rime est vraiment la maîtresse du poème, je mets ça de suite.. | |
Cubain |