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Mon corps agit….. Ma pensée me dit,
Mon corps.
Quand j'étais encore enfant,
Je n'étais que insouciance et innocence,
Jouer, gambader, cabrioler, était d'importance,
Que mes jeunes membres supportaient avec indifférence..
Ma pensée,
Oh elle n'était pas plus que cela,
Un enfant qui de sa jeunesse s'en amusa..
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Mon corps..
A mon adolescence, celui-ci évolua,
Du duvet au menton,
De l'acné tout en bouton,
Le reste je ne vous le dirai pas..
Ma pensée..
Pfft si je devrais vous le dire,
Vous allez en sourire,
De ce qu'était mon rêve,
Cela sans aucunes trêves..
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Mon corps ..
Un jour dans un ascenseur, se libéra,
D'une mauvaise odeur qui s'en dégagea,
Mes collègues s'en offusquèrent,
Et en firent des prières,
Pour que s'arrêta, leur calvaire
Ma pensée me dit..
Non, non, excusez m'en,
De ce que m'a échappé ce petit vent,
Je n'ai pu faire autrement,
Que de le laisser filer, silencieusement….
Ce n'est pas ma pensée qu'à ce moment j'ai dit,
Mais un p'tit mensonge que je fis,
C'est elle là… !! qui a fait cela.. !!
Quoi, vous ne me croyez pas ?
A leurs regard, j 'ai vu que je ne les en abusai..
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Mon corps,
Un jour que j'étais au PC,
Une envie soudaine me surprit,
De courir vite jusqu'au WC,
Y libérer mon colon ainsi,
De toute cette pression,
Que je n'arrivais plus à en faire raison..
Ma pensée,
Perdue dans un sourire béat,
De tout le bien que me procura,
Ce bonheur de libération,
D'un trop plein de déjections
Quand soudain ma pensée s'arrêta,
Sur un mince rouleau de carton, vide,
Horreur… !!! j'en devins livide,
Vite, vite, y a plus de papier
A Yvette , d'appeler au secours,
Sauve moi de cette situation, mon amour
Pour que le papier me l'en apporta,
Sans toutefois omettre de se moquer de moi..
Et de me dire, n'oublie pas…le prochaine fois,
Au lieu de toujours penser, à ton forum,
Penses plutôt à avoir de quoi, te nettoyer le rectum…
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Mon corps et ma pensée ,
Avec le temps j'ai vieilli
Ne pouvant plus que rester au lit,
Pour me reposer d'une vie passée,
A travailler, pleurer, rire et aimer..
Cette pensée qui m'a toujours accompagné,
Celle qui avec réconfort, et en parfait accord,
S'est doucement glissée près de mon corps,
Et de me dire, je suis avec toi jusqu'à la mort,
A deux on n'en sera que plus fort…….
D'en accepter ce qui est notre sort…
C'est alors que mon corps reposant en sépulture,
Vit ma pensée s'échapper par mon cercueil, une fissure,
Pour rejoindre le monde des vivants aimants,
Et s'introduire dans l'esprit des braves gens..
Pour leur rappeler, mon corps de son vivant.....
Écrit par Colibri
Ne vous fiez pas a votre humeur du matin,
Une rencontre dans l'avant midi,peut vous rendre heureux le restant de la journée.... Catégorie : Drole
Publié le 30/03/2008
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