Oh feu
Qui inonde le ciel;
Gare au malheureux
Qui de toi sera trop prêt.
Foyer de notre imaginaire,
Perpétuel et éphémère changement,
Tu lèches, noircis, altères..
Dévores la matière, goûlument.
Oh vent
Imperceptible mouvement aérien.
Souffle le temps,
Âme désincarnée d'un monde enfant.
Apaisant pansement
Sur les blessures des guerriers,
Transporte, du chœur, le chant;
Anime, des corps, la danse enflammée.
.
Écrit par CieletTerre
Pauvre de nous
Catégorie : Divers
Publié le 06/10/2009
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de CieletTerre au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 06/10/2009 à 21:42:24
C'est un bel écrit..bravo ! Amitié |
|
Yuba |
Posté le 09/10/2009 à 01:09:45
très beau chant : on dirait un chant iroquois ! | |
flipote |