Sur un banc de sable isolé
Dans nos rêves agités
Dans les steppes retirées
Tu es le chevalier errant, chercheur de gloire
Le chien fou qui rappelle un monde et le rend dans son regard.
Sur les landes stériles du jeu à peine engagé
Un cimetière dans la mains, les soupçons mal enterrés
La sombre renaissance de l'espoir sacrifié
J'ai parcouru un sentier sur un vieux souvenir
Perdant c'qui donnait du sens à un simple sourire
Sur l'île verte abandonnée
Dans les marais oubliés
Sur un son mal prononcé
Qu'importait l'endroit, j'y allais avec toi
On aurait refait le monde avec nos propres lois
Sur la plaine désertée
Dans un hurlement brisé
Dans la brume surchargée
Je n'étais qu'un prologue, une morale erronée
La petite vague qui s'échoue à perpétuité
(un de mes premiers écrits, vers onze ans)
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