Démarre la valse, commence l'orchestre
Violons allégés font sautiller les cordes
Comme un balancier l'arche s'avance
Alors se déhanchent les demoiselles agiles
Superbe élancement du crescendo
Au rythme du piano, la rose perlée
Les robes couleurs pâles et bleutées
Coulent et respirent comme une vague grandiose
Le claquement des talons de nos dames
Réveille l'éclatante, vive Dulcinée
Que l'effet de son parfum enivrant
Et son buste las, faiblissant alors son geste
Brusquement d'un vacillement cassant
Fait s'écrouler sur le parquet ma bien-aimée !
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Commentaires
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Posté le 25/04/2015 à 17:47:02
Sympa et intéressant | |
Victor |
Posté le 26/04/2015 à 09:57:48
Un excellent sonnet libre. | |
jacou |
Posté le 27/04/2015 à 16:47:20
Dans le tourbillon d'une moment de vie, il en faut peu pour être "impressionnée", un tout, un rien et l'on s'évapore ... | |
marieangehuby |