La nouvelle île,
Les humains survivants quittent l'île détruite
Quelques centaines qui ont pu s'échapper
Vont-ils trouver par une rencontre fortuite
Un futur refuge, pour tous les rescapés.
Le vaisseau erre dans les confins ténébreux
De l'espace profond, le radeau de la Méduse
Cherche un abri parmi les astres nombreux
Et suit le sillage de comètes diffuses.
Le temps passa inexorablement, mille années
En quête absolue, foulant des astéroïdes
Stériles, abordant sur des terres damnées
Et un jour ils trouvèrent un planétoïde.
Ce monde était recouvert d'immenses forêts
De mers et de lacs, de montagnes et vallons
Sa faune était variée, animaux des marais
Ou de prairies, ils étaient de nouveaux colons.
Les humains sont devenus des agriculteurs
Et des éleveurs, défrichant tous les terrains
Autour d'eux, le blé a poussé, explorateurs
Ils trouvèrent des êtres aux armes d'airain.
Des sauvages à la peau bleue, humanoïdes
Chasseurs-cueilleurs, les deux peuples étaient surpris
Les hommes aidés par leurs robots androïdes
Partagèrent leurs champs, la paix n'a pas de prix !
Écrit par CRO-MAGNON
Être doué en quelque chose, le talent se travaille mais le génie n'a aucune règle apprise et impose son style.
Catégorie : Amitié
Publié le 14/11/2018
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Suite bienvenue à ton poème d'hier et épilogue réaliste de ton récit de science-fiction, où l'on distingue à la fin nos survivants en mode colonisation sur un monde qui m'a fait penser au film "Avatar". J'apprécie cette véracité du récit. | |
jacou |
Oui ! la paix n'a pas de prix ! Merci Olivier |
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Yuba |
Une nouvelle agréable à lire. | |
eric |