03 août 1992,
Il y a 27 ans dans le coin d un couloir,
je frottais en priant un petit bout de bois,
Pour forcer le destin, pour que le oui soit loi,
pour qu'on nous laisse fuir, que l'on cri notre joie,
L'accord nous est donné, nous partons mains serrées,
mais le point de départ n'est pas des plus communs,
Pour des âmes blessées, par les coups du passé,
peu sont ceux à parier sur le bout du chemin,
Bien que belle princesse, et Maman dévouée,
bien que belles moustaches, toujours bien enroulées,
Le pari est osé et peut être un peu fou,
un gros pavé d'amour est notre seul atout.
Sera-t-il capable d'être un peu un papa,
de se faire accepter de se faire un chez soi,
C'est celui qui arrive qui doit parler tout bas,
et à tous les petits, de juger de sa foi,
Pas de place au tricheur, rester simplement soi,
encaisser quelques pleurs, et quelques regards froids,
on ne peut obliger un enfant à aimer,
mais on a le devoir de toujours le choyer,
Aujourd'hui les petits sont bien plus grands que moi,
ils viennent quelques fois, nous voir sous notre toit,
Certains ont des petits, à leur tour, mes Rastas,
et les deux échappés se tiennent toujours le bras,
Que le ciel nous permettent, de partager longtemps,
sur ce bout de planète, quelques bons sentiments,
J'ai perdu le bâton, mais gagner votre amour,
le portail est ouvert, rejoignez notre cour,
Cino
Écrit par CINO
Fais ce que tu crois juste, oublies ce que tu as fais pour les autres et ce que les autres n'ont pas fait pour toi !
Catégorie : Amour
Publié le 03/08/2019
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C'est une date qui m'est chère. Pour vous, c'est un accomplissement qui a de beaux lendemains, le bonheur vous a visité et, dans la continuité du temps, voici désormais que tout le monde est grand. Merci pour ce si bon poème-chronique, et bonne continuation CINO ! | |
jacou |
Merci pour votre commentaire, bon dimanche | |
CINO |