Un soir de beuverie perdu parmi tant d'autres.
Ces temps où l'on s'oublie, le cerveau embrumé,
Dans des lieux interlopes et des bars enfumés,
Où tout le monde crie : “çui-là, il est des nôtres !â€
Par camaraderie, et par émulation,
On passe la limite, on pousse le bouchon,
On écluse les pintes, on vide les cruchons,
On étanche sa soif : alcool, folle passion !
Ça n'a pas son pareil de se sentir si bien,
Ou bien alors si mal, on n'en est pas certain,
L'estomac retourné, la cervelle en morceaux.
Ça a sans doute du bon, mais aussi du mauvais,
De s'avilir ainsi car on est un peu sot,
Aviné, vagabond, la tête comme un navet.
Écrit par Buk
Sortant ma tête du néant qui m'environne,
Je souhaite améliorer mes rimes qui tâtonnent. Catégorie : Divers
Publié le 21/06/2012
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Commentaires
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Posté le 21/06/2012 à 21:10:49
Très bon poème. | |
eric |