Tu partageais ma vie de tous les jours,
Mais voici peu de temps, tu m'as quittée.
Quel désespoir cela m'a suscité
De voir la vie t'échapper pour toujours.
Tu étais fidèle et pleine de bravoure,
Sur toi je pouvais toujours compter.
Tu accédais à toutes mes volontés.
Tu m'étais constamment d'un grand secours.
Hélas, un jour, tu es tombée malade
D'une dure souffrance incurable
Au cours d'une insignifiante balade
Ta vie envolée, c'est inexorable,
Peine beaucoup le cœur de ton lad
Ma petite voiture, si admirable.
Écrit par Bragi
Liberté est une insoumise que beaucoup d'hommes courtisent, mais bien peu embrassent
Catégorie : Triste
Publié le 16/01/2012
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Commentaires
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Posté le 17/01/2012 à 20:12:33
j'adore cet humour même s'il est peut - être ironique C'est vrai que nous les hommes il peut nous arriver de donner plus d'attention à une voiture qu'à une femme Une grande différence : il n'est pas recommandé de s'endormir dans les bras de son volant |
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PATGUI |
Posté le 18/01/2012 à 12:16:45
Ironique, ce poème ? Non, tu te fais des fausses idées ! :D |
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Bragi |