Voûte grise écrasante
Obscurité oppressante
Ce monde se flétrit
Tout comme l'est mon esprit
La première est tombée
Voilà mon visage lavé
S'ensuit alors le rideau
Et mon corps imbibé d'eau
Et mon esprit de rétorquer
« Chaque goutte installée
Sur ma peau fragile
Etait les secondes passées
A mes peines inutiles »
Et j'en sentais la lourdeur
Moments écoulés en pleurs
Fuite du temps
Abruti va-t-en
Écrit par Blugh
Les hommes ne voient pas ce qu'ils ne veulent pas voir.
Catégorie : Triste
Publié le 23/10/2013
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Commentaires
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Posté le 23/10/2013 à 00:06:46
Il aurait été dommage de ne pas le poster à nouveau, je l'avais lu et apprécié, les mots sont bien trouvés, j'aime beaucoup, amitiés poétiques absolème |
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absolème |