Les maisons sont vides et froides, sous quelques cadavres de fleurs,
L'automne arrive doucement à mesure que le monde s'y meurt
Un ciel trop lourd ne réchauffe pas; son grand maître est épuisé,
Vous la connaissez aussi, cette bonne odeur de feuilles mouillées.
Une dame au bar jure aux hommes de n'être qu'animaux
Et je souris à la brise du derniers des vents chauds.
Ils dérangent peut-être, mais sont pourtant bien vivant !
Moi: tellement calme, quelque part entre mort et mourant...
Et je lève mon verre à tous ces jours passés sur terre. Ma belle,
Comme je redoute le jour où je devrai en passer sous elle.
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Triste
Publié le 23/09/2012
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Commentaires
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Posté le 23/09/2012 à 00:34:19
J'adore le premier vers, ces maisons vides et froides. | |
Intruder |