Je colle mon oreille froide contre la lourde porte de fer.
J'entends la plage grise dont le tintement de sa seule bouée,
Perce les brumes qui caressent la lointaine et violette mer.
Alors je cogne à la porte; -Je veux vivre encore, OUVREZ !
Mais les voiliers prennent le large et la marée se dissipe
Sur ma chambre en tissu et ma camisole de briques.
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Triste
Publié le 08/12/2011
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de Biron au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 08/12/2011 à 06:53:57
Bravo Biron, j'ai adoré,,,, | |
flipote |
Posté le 08/12/2011 à 20:21:18
Brillant. | |
Harmonie |