Et très loin de tous, noyé dans le caveau d'un bar
J'écoute en vain les fantômes de vieux habitués
Il n'est pas question que je meurs sans croire ;
Qu'il faudrait que l'homme renaisse une fois tué.
Que des cendres, poussent les racines d'un cerisier
Qui donnera aux enfants de l'importance aux gâteaux
Et que même dans l'éventuelle mort d'un nouveau-né,
Il y est des sourires francs aux sépulcres des hôpitaux.
J'imagine un monde fait d'une série de vals boisés
Des poissons à faire sombrer les plus forts rafiots
Des incendies aux montages, des morts par millier
Et mon rire sonore, perçant le noir de mon tombeau.
Je souhaite que le feu qui purgera les hommes
Dure bien plus longtemps que celui de Rome.
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Divers
Publié le 17/02/2014
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Commentaires
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Posté le 30/03/2014 à 01:33:12
Holà Néron! quel artiste n'a pas encore péri en toi! | |
jacou |