Au large des côtes du printemps
J'irais me balader, seul, et pensant
Je ne sais quel vent
Démentiel m'emportera
Seul l'horizon saura
Peut-être jusqu'au firmament
Je ne verrai que ta silhouette enchantée
Mes sens entremêlés, ma vue effrénée
Seul face à la réalité
Altérée par l'inhibition
De mes soupçons
Peu à peu calcinés
Oubliés dans un havre douteux
Mes songes ressurgissent au bleu de tes yeux
Aliéné face à toi
Avide d'un jour
Amputé d'un amour
Qui harponne nos émois
Écrit par BenTrd
Quand je suis peiné je trouve refuge dans les pâtes.
Catégorie : Amour
Publié le 02/02/2017
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Commentaires
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Posté le 02/02/2017 à 17:13:04
Joli. | |
suane |
Posté le 02/02/2017 à 20:59:25
Comment tout dire en quelques vers gracieux. | |
jacou |