Un jour, en marchant dans la rue
Je vois une beauté sans égale
Oh mon dieu que c'était beau !
Mon corps frissonne et mon cœur s'emballe
**
C'était un rêve éternel
Qui me rendit mendiant au pluriel
**
C'était un éphémère
Qui semblait durer
Car les battements de mon coeur cessèrent
Pour mieux apprécier sa foulée
***
C'était un rêve éternel
Qui me rendit mendiant au pluriel
**
Je voulais tellement lui parler
Rien que pour lui dire bonjour
Mais les mots s'envolaient
Car ma bouche fut cousue pour toujours
**
C'était un rêve éternel
Qui me rendit mendiant au pluriel
**
Dans mes songes et mes chimères
Je rêve sans arrêt d'elle
C'est plus fort et intense que la misère
Que vais-je devenir moi qui pense qu'à elle
**
C'était un rêve éternel
Qui me rendit mendiant au pluriel
**
Lui prendrai-je un jour la main
Est-ce qu'on sera un jour ensemble
Je crains que l'avenir soit incertain
Et que mon sort avec elle lui ressemble
**
C'était un rêve éternel
Qui me rendit mendiant au pluriel
**
Alors ne serait-ce pas sage
D'aller de l'avant
Et de se dire que c'est un passage
Qui te sera guide Derain avant
**
C'était un rêve éternel
Qui me rendit mendiant au pluriel
**
Mais mon cœur la veut tellement
Que je crains qu'il me lâche
Et mes yeux je n'ose parler franchement
Sous peine qu'elles se fâchent
**
C'était un rêve éternel
Qui me rendit mendiant au pluriel
**
Que vais-je faire
Pour que ses yeux me réclament
Et que puis-je faire
Pour mériter que la pluie m'acclame
**
C'était un rêve éternel
Qui me rendit mendiant au pluriel
A suivre...
Écrit par Azzedinee
vivre c'est cruel et beau à la fois, alors sachant combiner
Catégorie : Amour
Publié le 02/04/2007
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de Azzedinee au hasard |
Annonces Google |
très bel écrit, j'ai aimé... | |
MAZBRI |
merci c'est gentil de votre part | |
Azzedinee |