Je ne comprends pas mon cœur lancinant
Qui me lance, Qui me lance.
Je ne comprends pas ce cœur, sciemment
Qui me brise, Qui me brise.
L'un fait écho, l'autre se tait
Deux êtres qui discutent
D'états, de choses, de faits.
Je ne comprends pas ma tête bruyamment
Qui me cogne, Qui me cogne
Je ne comprends pas ma tête doucement
Qui me sonne, Qui me sonne.
Les cloches sont douces au voyageur
Près du clocher, il se repose
En attendant pour son départ l'heure
Il cueille dans l'herbe une rose.
Je ne comprends pas mes yeux consciemment
Qui me blessent, Qui me blessent
Je ne comprends pas mes yeux sagement
Qui se refusent, Qui se refusent.
La morne plaine aplatit le front
D'un vent plus que tempétueux
La mer engloutit un ponton
Qui menait aux officieux
Écrit par Azurelle
La vie est un défi à relever, un bonheur à mériter, une aventure à tenter.
Catégorie : Divers
Publié le 04/05/2009
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Commentaires
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Posté le 04/05/2009 à 12:02:12
j'aime bien la redondance. petite note, pour le vers "la morne plaine qui aplatit le front". Il y a un effet "champs de bataille" voulu ? C'est à ça que ça m'a fait penser en tout cas. Amicalement. |
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blueberry |
Posté le 04/05/2009 à 12:06:17
On peut y voir ce que l'on veut, mais c'est l'image que je voulais donner, une petite référence à la célèbre plaine de Waterloo. Merci Blueberry Amicalement |
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Azurelle |
Posté le 04/05/2009 à 15:26:07
Voici des cloches qui résonnent en écho dans ton cœur, dans ta vie, dans ton poème aussi. Bravo ! | |
Nighty |