Etincelle de vie arrivée sans souffrance
Au solstice d'hiver telle divinité
Ma Marquise des Anges, mon jardin d'espérance
Mon rayon de soleil dans un ciel enneigé.
Fragile comme cristal, parfum de mon essence
Quand blottie contre moi pour être caressée
Plus rien autour de nous n'avait même importance
Que cette bulle d'amour, nos regards échangés.
Maintenant tu es femme sortie de l'innocence
Encore plus de secrets nous pouvons partager
Et tu sais bien ma douce que toutes nos confidences
N'ont fait que renforcer notre complicité.
Mon cœur, mon enfant, je souffre de l'absence
Et des jolies étoiles que tu as enfantées
Un manque de vous toucher, pour cause la distance
Je rêve alors du jour qui va nous rapprocher.
A toi mon Angélique, ma fille, mon bébé
Mon amour, ma substance, ma fleur d'éternité.
Écrit par Axelle14
Carpe diem !
"Le poète ne vit pas tout ce qu'il écrit... Mais tout ce qu'écrit le poète prend vie" Catégorie : Amour
Publié le 13/03/2012
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Exquise poème d'amour maternel oui elles restent à jamais nos bébés largement adulte et ma fille, mais j'ai toujours envie de la câliner sur mes genoux |
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flipote |
ce poème est un moment délicieux qui vient adoucir ma relative insomnie, je suis sorti de cette lecture à regret tant l'enchantement qu'il m'a procuré, m'a nimbé de lumière je n'ai que des garçons et belles filles, t'embrasse. | |
bergerac |
Tu as vraiment beaucoup de chance et même si la distance vous impose de ne pouvoir vous toucher vous savez que vous pouvez compter les unes sur les autres . J'ai beaucoup aimé ton poème qui me parle beaucoup. | |
TANGO |
angélique et marquise des anges cela me rappelle de vieux souvenirs | |
PATGUI |
Très beau...jolies émotions. Les miennes sont encore des bébés...je profite, je profite...! |
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Meliya |