Un papillon se pose,
Sur tes lèvres closes,
Papillon argenté,
Papillon de l'éternité.
Tes yeux sont fermés,
Et tes iris clairs,
Ne peuvent plus regarder,
L'oiseau dans l'air.
Le bruit des machines,
Résonnent sans fin,
Triste musique du lointain,
Qui résonne dans la pièce vide.
Et tout s'arrête,
Le bruit,
Les machines,
Les rêves.
Le papillon,
De la fenêtre s'est envolé,
Et dans le salon,
Tombent les larmes fanées.
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Écrit par Ary
La femme est une pensée, la plus forte de la nature, mais c'est une pensée dansante.
(Jacques Prévert) Catégorie : Triste
Publié le 10/12/2009
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Commentaires
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Posté le 10/12/2009 à 13:31:36
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Bonjour Ary, Quelle émotion dans ton poème, il est superbe, belle expresssion que "larmes fanées". Bien amicalement Ange de lumière |
Ange de Lumière  |
Posté le 10/12/2009 à 16:20:57
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Beaucoup de beauté dans tes vers... Ils m'ont beaucoup plu. |
blueberry  |
Posté le 10/12/2009 à 19:23:23
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comme un petit froissement d'ailes silencieux mumures! triste ,mais si beau! amitié! |
| MARIE L. |