La nuit s'étire,
Couleur de l'ombre,
Insaisissable et sombre,
Emplie de nos soupirs.
Et la lune pâle,
Lumière d'opale,
Éclaire sans le vouloir,
La révérence du soir.
L'étrange s'en va,
Leur temps est fini,
Regarde là-bas,
Le soleil arrive.
Et n'essaie pas,
De retenir entre tes mains,
Un éclat de rêve aérien,
Il est déjà trop tard.
Écrit par Ary
La femme est une pensée, la plus forte de la nature, mais c'est une pensée dansante.
(Jacques Prévert) Catégorie : Divers
Publié le 30/09/2010
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Commentaires
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Posté le 30/09/2010 à 09:45:15
Ary je retiendrai vos mots, ils sont superbes |
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marie-ange-old |
Posté le 30/09/2010 à 12:45:23
joli poème. merci |
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toujours |
Posté le 30/09/2010 à 18:19:34
Poème très bien construit sur le thème de l'aurore qui nous inspire et nous inspirera toujours. Merci Ary. Amitiés. |
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JB |
Posté le 30/09/2010 à 19:31:03
Très beau, cette aurore est encore plus belle sous ta plume ! amitiés Louann |
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louann |
Posté le 01/10/2010 à 09:04:44
trés beau Ary! | |
MARIE L. |
Posté le 21/10/2010 à 16:09:22
Sublime ! | |
Nighty |
Commentaires
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