Au loin dans la brume chantent les sirènes,
L'écume sur le sable dépose des larmes amères,
Qui en perles de nacre apparaissent sur la grève.
L'appel lancinant d'une flûte dans les terres,
Attire, comme un aimant le fer,
Le cœur fragile du rêveur, éphémère.
Les rayons de la lune qui caressent l'éther,
Éclairent doucement l'étoffe du rêve,
Ainsi que les larmes déposées par la mer,
Larmes de nacre sur le sable gris clair.
Écrit par Ary
La femme est une pensée, la plus forte de la nature, mais c'est une pensée dansante.
(Jacques Prévert) Catégorie : Divers
Publié le 28/05/2010
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Commentaires
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Posté le 28/05/2010 à 10:27:07
Je les vois ces larmes de nacre se déposer tristement sur la grève. Mélancoliquement beau, avec des vers doux et glissants, j'ai beaucoup aimé. Amitiés matinales. |
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JB |
Posté le 28/05/2010 à 11:02:16
Superbe..!! amitiés estrella |
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estrella |
Posté le 28/05/2010 à 11:11:25
wouahhh superbe Ary, un régal ce poème ! amitiés Louann |
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louann |
Posté le 28/05/2010 à 19:49:07
on entend même l'appel des flûtes... si, moi, je l'ai entendu... c'est bien agréable ! amitiés marines ! |
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Alpero |
Posté le 28/05/2010 à 21:48:56
Quel bonheur à lire ce poème, une source fraîche s'écoule de tes vers Ary, j'ai adoré cette poésie. Amicalement Ange de lumière |
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Ange de Lumière |
Posté le 29/05/2010 à 19:14:18
C'est SUPERBE ! Un régal ! Merci pour ce partage | |
Ys |
Commentaires
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