Harassé, je pose mon séant sur un banc,
Posé à même le flanc d'un mont illustre,
Et bâtit jadis, par quelque diable zélé.
La ville au loin m'appelle mollement,
Je vomis son nom en silence .
Personne ne m'attends plus là-bas.
Le sommet est proche, mon guide se meurt,
Sa fin m'émeut, il en existe donc un plus bas que moi,
Et dont je peux contempler la chute.
Quelque mètres encore et je verrai,
Enfin! Le spectacle attendu,
La promesse d'une alternative.
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Commentaires
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Posté le 16/02/2013 à 11:00:04
Magnifique ! Tu nous emporte avec toi sur les flancs de cette montagne du diable... | |
Marouette |