L'autoroute l'a tué
Ma tendre et bien aimée
Par une nuit froide
De cet hiver maussade
Son visage ne m'apparait plus
N'étant plus dans les parages
Je ne m'en souviens plus
Ne gardant aucune image
Elle était joviale
Prête à toutes les parades
À l'époque où nous les nomades
Ne pensions plus à la dalle
Je ne conserve qu'un son
Une simple et pure tirade
Son rire qui sans façon
Était la meilleure accolade
La vie qui sans lui sourire
La contentait par son entourage
Elle qui sans souffrir
Savait se prémunir des mirages
La route l'a tué
Et c'est sans la nommer
Que je lui consacre ma plume
Un hommage posthume
À toi ma bohème
Je t'aime.
Écrit par Altair
Memento Mori Car Cette Plume de Sang Et De Larme Le Sait
Catégorie : Triste
Publié le 04/02/2014
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