Tes pieds sont l'écume pure
Ton regard un ciel bleu profond
Ton corps une petite nature
Ta beauté n'a pas de fond,
Ni fin, ni début.
Les femmes en son jalouse
De toi s'éveille une Aphrodite
T'es bien la fille de Meredith
L'être dont le charme est
Un venin délicieux.
Dire que j'ai préféré naviguer
Seul dans l'infini cosmos
Seul le dieu Cronos
Nous donne
Du temps,
Le temps de s'aimer peut-être,
Concevoir un petit ange chétif.
Sans toi, je serais bien craintif
De finir ma vie sans ma drogue.
De mon piano, je t'ensorcelle,
Mes doigts manipulateurs
Te berce au violoncelle
Malicieux, trompeur.
Tu es à moi petite fée du ciel
Je ferais de toi, mon miel.
Ma raison de tuer
Afin d'exciter
L'amour.
La romance de Cupidon
Chante dans ma tête
Un message d'ivresse
Qui bouillonne en moi
Nuit et jour
Oublie ton mari trompe le.
N'est-ce pas la tentation,
De ton rêve inavouable
De n'être plus qu'un
Avec l'amant
Idéal.
Rejoins-moi ce soir à l'aéroport
Je n'en dis pas plus ma chérie
Une chose est sur, tu vivras
Une vie riche de folie
Et d'ivresse
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Les dieux sont entrains de jouer un jeu dangereux ... Serait-ce l'excitation procurée par le sentiment de l'interdit ? Bravo Alone ! |
Yuba  |
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Un kaléidoscope de propositions, c'est ce que vous proposez, car vous semblez à la recherche de quelque chose, ailleurs, avec quelqu'un... Je rejoins l'interrogation de Yuba ci-dessus. Mais après tout, la poésie est faite pour jouer, occasionnellement. |
jacou  |
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Le sentiment de l'interdit est aussi fascinant qu'un joyaux clos dans un musé. Merci Yuba |
| Alone |
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Je dirais a la recherche d'une aventure interdite qui sans doute dont la fin serait moins plaisant que ce magnifique début a l'ouverture. Merci Jacou |
| Alone |