Depuis ta naissance t'était enfermé,
La vie t'ouvrait les portes du soleil,
Nous étions amis. J'étais déprimé
Mais à tes chants cessa mon deuil.
Maintenant adulte, elle t'appelle,
Elle crie à toi de t'envoler loin de moi.
Vas-y petit ange, je garde bonne foi.
Déploie le cœur a la force de tes ailes
Il est temps de se dire adieu Nestor.
La vague m'entraîne, douce tristesse
Au visage si raffiné dépourvu de remords.
Demain j'irais me consoler à la messe,
J'irais chanter mes louanges à la pluie,
Espérant que tu entendras ce chant
Ou que tu soi petit prince des vents
Nous serons toujours reliés par ce lien
Tendrement tissé.
J'ai fait du désert ma demeure,
Et de la nuit un brasier ardent
Ou la solitude ralentie l'heure
Ma lyre pleure sur l'occident
Pensant te revoir un jour
La haut volé.
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J'apprécie votre sincérité, les sentiments qui sont les vôtres et transparaissent dans vos poèmes. Merci Alone de ces partages. | |
jacou |