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J'évoque volontiers mes amours ténébreuses.
La mer dans mon cœur se défaisait souvent,
Parfois un sombre orage me poussait loin devant
Et je m'allais mourir, nulle part, vague hideuse.
Tout m'exaltait, mais ne durait qu'un temps ;
Un sein, qu'une plume, tendrement caressait,
Un sein, qui se cabrait, exultant d'envolées
Des plaisirs qui naissaient, m'émouvait un moment.
J'étais chercheur d'amours comme on est chercheur d'or.
Le travail est pénible et les pépites rares...
On s'acharne, on tremble, on rêve d'un trésor
Puis déçu par l'endroit, on s'en va autre part.
Mais un jour, fatigué, songeant baisser les bras,
Et le reste, j'avoue, j'ai trouvé une perle...
Elle est belle comme l'amour et chante comme le merle...
Moi, je suis à l'aleph quand elle est dans mes bras.
Écrit par All-trinity
Por mi raza hablará el espíritu
Catégorie : Divers
Publié le 27/07/2008
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eric |