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Toujours debout, fresque sanguinolente
Tu prends la pose des femmes séduisantes
Et tu t'emplis des désirs insondables
Que tu renies lors que tu es coupable.
Souvent, tu prends la forme d'une femme indomptable
Perdue depuis longtemps au concert des nations.
Tu passes inaperçue comme un vent impalpable
Mais l'Europe regarde. Tu dois faire attention !
Ils sont tous à tes lèvres puisque tu vis encore
Mais quand tu chancelleras, ils te mettront dehors
S'ils ne te mettent pas à mort ! Alors à l'unisson
S'ouvriront tes blessures, les grands vents de la destruction…
Quand tu ne seras qu'un cadavre, ne cherche pas le bras fiévreux
Qui pourrait jeter quelque fleur sur ton caveau mystérieux…
Écrit par All-trinity
Por mi raza hablará el espíritu
Catégorie : Amitié
Publié le 27/07/2008
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Commentaires
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Posté le 27/07/2008 à 21:36:22
Très beau poème. | |
pichounne |