Tu aurais pu vivre encore un peu,
parler de montagne, de nuit, de brouillard,
la chanson française perd un demi-dieu,
et l'ombre apparait sur son étendard.
Ce sera toujours la première fois,
que tes mots créeront la chair et l'antan,
on le pensait tous et je sais ma foi,
tu ne chantais pas pour passer le temps.
Tu sais que la femme est l'av'nir de l'homme,
va le déclarer avec Aragon,
et puis crie bien fort dans ton dernier somme,
qu'on peut, pour aimer, perdre la raison.
Écrit par Alexandre-glaucos
Lilith et Psyché se disputent mon âme .
Blog de timeotiange ( pas le mien mais c'est important ! ) Catégorie : Amitié
Publié le 14/03/2010
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amitié à découvrir... | Poèmes de Alexandre-glaucos au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 15/03/2010 à 11:21:43
Grâce a tous ce qu'il a laisser nous le ferons vivre... C' est un bel hommage que tu lui rend par ce poème. amitiés estrella |
|
estrella |
Posté le 15/03/2010 à 11:27:54
Bel hommage en effet, c'est un très bel auteur qui disparait, mais il nous laisse un magnifique héritage... Hysard |
|
hysard |
Posté le 15/03/2010 à 14:43:12
Je suis contente que tu aies écrit cet hommage. Il n'y avait que toi pour le faire ! Merci pour cet instant de belle nostalgie ... |
|
Nighty |