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J'ai si mal et pourtant je regarde le fond du ciel… y cherche ce lointain profond…
Un murmure qui caresse en mon âme les moindres tréfonds,
Échos brutal que laisse ton vide, absence ravageuse essaime…
La douleur de ne plus pouvoir te dire je t'aime…
Tu visites mes rêves, m'offres tes lèvres et ta chaleur…
Je te sens tout près de moi, si fort entendre battre ton cœur,
Délices assassins, l'étreinte de ta chair verse ses larmes
M'inonde de sa peine, m'assaille, me désarme…
Je te cherche dans la nuit bavarde des ses innombrables étoiles…
Ton cœur qui sourit, le regard brillant, quand tombe-le voile…
S'efface de volutes fragiles, pareil au frisson séduisant s'amenuise…
Se meurt et reste les ténèbres affamées, qui sombrement me nuise…
Souffle l'esquisse doucement sucré, de sa peau ce miel parfait…
Invoque la transe de mes doigts, touche l'obscurité sur son visage de fée…
Je tremble dans ses yeux… la musique lancinante de ce gouffre béant…
Arraché au spectre du remords me plonge dans le néant…
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